mercredi 21 septembre 2011









Librairie dans Chiang Mai






Stranger's shadow





Sea guardian

Temple's guardian

Temple's guardian




                     
 [ FREEDOM : Liberty of a person from slavery, detention or oppresion ]






                                                                    -     Symbolique évolutive : changement ; le quai s'active : pressant   -
A view from a bridge

vendredi 17 juin 2011

" Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer " 
 


                                                                                             [ Liberté ]
Le repère des pâtes de riz


Where ' we goin' ?

Canevas au crayon


Sous rire.

mercredi 1 juin 2011

Evoquer le sublime

Vous admettrez que la notion de sublime est assez générale  " Qui va en s'élevant " disaient certains. Le concept est communément associé aux forces de la nature. Après tout, comme disait Ernst Haas dans les années 60 (bien avant la retouche numérique) à son assistant " Vous vous rendez compte de ce que vous photographiez ? Rien moins que la création du monde". Il faut dire que Haas était assez spécialisé dans la photographie de volcans, d'orages et de ciels en haute altitude. Mais quelques années plus tard, avec notamment le début du "sublime militaire " (personnellement, cette notion m'échappe), des photographes ont repris cette notion pour faire apparaître et ressortir le terrible de la nature, mais cette fois ci, de la nature humaine. En effet, on part loin de la notion commune du sublime, mais c'est ce qu'on qualifierait de sublime contemporain. Quel est l'intérêt de montrer des photographies comme celles des génocides Cambodgiens ? L'horreur peut être traité directement ou avec du recul, et c'est cette valeur de recul qui est importante. C'est là qu'on arrive à l'aspect pratique de ce petit impromptu. En parcourant les pages d'une des bibles de la photographie, je suis tombé sur un photojournaliste Gustav Metzger, allemand, qui réalisa des tirages de l'époque nazi et de la guerre du Vietnam. Il avait présenté ses photos de manière à ne pouvoir les regarder que de près et dans une situation inconfortable. Ce concept est plus qu'ingénieux. Voilà qu'après une photo, en elle-même déconcertante, on vous oblige à vous torturer physiquement pour pouvoir la voir. Ce grand tirage était posé à quelques centimètres du sol, un drap le recouvrant et le spectateur devait ramper dessous pour pouvoir regarder une photo de Juifs Viennois obligés de nettoyer la chaussée avec des brosses à dents. Le fait de rendre ce grand tirage presque inaccessible évoque non-seulement l'humiliation de la scène photographiée, mais l'empêche aussi de le voir en entier.


Qui va en s'élevant vous disiez ?

Martin

mardi 3 mai 2011

          Vomis ton bagage, 
régurgite ta science,
accepte le vide ; 
          Accueille l'image pauvre.